La première chose à faire quand on s’intéresse au SEO d’un site, c’est d’identifier ce qui cloche. Pourquoi ce site n’est-il pas mieux positionné et quelles mesures doit-il entreprendre pour y remédier.
Seulement, c’est facile à dire mais c’est beaucoup moins évident d’avoir des réponses précises.
Alors comment s’y prendre pour clairement identifier les problèmes liés au SEO d’un site ? Quelles sont les bonnes questions à se poser, où faut-il regarder ?
Voyons ensemble les bonnes pratiques pour trouver ce qui bloque un bon référencement.
Bien comprendre ce qu’est le SEO
Première chose, avant de mettre sa casquette de détective, on va s’assurer qu’on a bien compris ce qu’est le SEO.
Le SEO, c’est optimiser son site pour qu’il ressorte le mieux positionné possible dans les moteurs de recherche sur les requêtes qui apporteront un trafic qualifié. Un trafic qualifié, ca signifie des internautes qui ont potentiellement envie d’acheter ou du moins qui trouveront les réponses aux questions/besoins qu’ils avaient avant d’arriver sur votre site.
Et comment on fait ca, en une ligne (bon ok en 5 lignes) ? Et bien on respecte bien les 4 étapes du bon petit SEO (la 5ème étant le web analytique), à savoir bien choisir ses mots clés (ou analyse sémantique), s’assurer que le contenu apportera un plus aux internautes (on parlera aussi d’orientation du contenu), optimiser le site pour les moteurs (optimisation on site) et enfin, s’assurer de la popularité du site aux yeux des moteurs (optimisation off site ou link building).
Il faut aussi comprendre que le grand patron, c’est Google. Et qu’en tant que grand patron, il dit ce qu’il veut qu’on fasse, ou plutôt ce qu’il veut qu’on ne fasse pas. Et si on ne l’écoute pas, il se fâche et il punit notre site.
Une fois qu’on a bien compris tout ca, on peut jeter un coup d’œil sur notre site et on va regarder ce qui cloche.
Est-on puni ?
Avant de se lancer dans un diagnostique complet, on va s’assurer que notre site ne possède aucun problème majeur, c’est-à-dire que Google ne nous boude pas.
Quand Google n’aime pas quelqu’un, il a deux armes : soit il pénalise un site en lui donnant un handicap et en faisant ainsi chuter ses différents positionnements, soit il est carrément fâché et il vous éradique de son index.
Alors on va s’assurer que notre site figure bien dans l’index de Google : c’est très simple, il suffit d’aller sur Google.fr et d’écrire « site:http://www.superbibi.net » en remplaçant superbibi.net par votre site, bien entendu.
Si des résultats ressortent, ca veut dire que votre site est indexé et donc peut potentiellement recevoir des visites depuis Google.
Attention toutefois, un site nouveau pourra ne pas être indexé sans pour autant être pénalisé : il faut parfois du temps à Google pour prendre connaissance de votre site.
Si votre site est âgé d’au moins quelques mois mais ne ressort toujours pas, on se posera alors quelques questions :
- Le nom de domaine de mon site était-il déjà utilisé avant que je l’achète ?
Il arrive parfois que des noms de domaines soient abandonnés. Il peut exister des dizaines de raisons pour justifier cela. L’une d’entre elles pourrait notamment être le fait que le domaine en question soit pénalisé par Google (on parlera alors de sandbox) ou carrément blacklisté et fut donc abandonné par son ancien propriétaire.
Raison plus rare, peut-être que votre site est hébergé sur un serveur mutualisé, c’est-à-dire sur le même serveur que des milliers de sites, partageant donc la même adresse IP. Or il s’avère qu’une grande partie de ces sites soient de nature douteuse. Google pénalisera ainsi l’adresse IP du serveur, touchant ainsi également votre site. Pour nuancer le tout, Matt Cutts (le boss anti spam de Google) a annoncé que cela était extrêmement rare, voire même quasi impossible de nos jours mais que toutefois il avait déjà vu des cas de ce type.
Après, pour savoir si notre site est tout simplement pénalisé sans être blacklisté, c’est moins évident. Il s’agira par exemple de voir si le site ressort sur son nom de domaine (ex : Superbibi pour superbibi.net). Ou plus généralement, si les efforts d’optimisation ne payent pas, et ce après quelques longues semaines/mois, on se posera alors des questions.
Quelque chose cloche-t-il sur mon site ?
On va dire qu’on n’a pas fâché Google et qu’on n’est pas puni. On va alors chercher à voir si on n’a pas une poutre dans l’œil, puis on ira chercher la paille dans celui du voisin.
Vous vous rappelez, il existe 4 grandes étapes dans le SEO. Et bien on va tout simplement les reprendre une par une et voir si on n’a pas fait de grosses erreurs (ou plein de petites).
- L’analyse sémantique
La première concerne les mots clés : sont-ils bien en adéquation avec mon site, répondent-ils aux besoins des clients ? Sont-ils ceux que les internautes recherchent sur Internet ?
En gros on a deux problèmes ici : la première concerna les termes de recherche. Les internautes écrivent-ils plus souvent « webmarketing » ou « web marketing » ? Ou encore « e-marketing » ? A moins que ce soit « cybermarketing » ?
Il faut s’assurer qu’on se positionne sur des termes un minimum recherchés, par exemple en utilisant (vous avez désormais l’habitude) le générateur de mot clé de Google.
Deuxième problème, peut-être plus marketing que SEO pur et dur, les termes que vous choisissez répondent-ils clairement au besoin des internautes ?
Il faut bien comprendre une chose : votre site vend des produits, qui répondent à un besoin. Il faut se positionner sur ce besoin, et non sur le produit.
Pour illustrer cela, on peut prendre l’exemple d’une société de référencement : elle propose des solutions SEO qui répondent au besoin de référencement naturel de sites web. Faut-il se positionner sur le terme « SEO » et donc sur le produit ou sur les terme « référencement naturel » ou « visibilité », à savoir le besoin des internautes ?
L’un parait plus logique que l’autre au final. C’est pareil pour tous les sites même si c’est parfois moins flagrant. Cela ne boostera pas votre positionnement à proprement parlé mais viendra améliorer votre taux de conversion : je vous rappelle qu’on cherche à acquérir un trafic qualifié et non juste du trafic de masse.
- L’orientation du contenu
Le contenu, c’est le cœur d’un site.
Google, quand il regarde un site, c’est ce qui l’intéresse le plus. De plus, les internautes quand ils arrivent sur votre site, c’est la première chose qu’ils chercheront.
Vous comprenez donc bien que ca vaut la peine de s’y intéresser. Vous ne croyiez tout de même pas que vous alliez vendre à tour de bras vos produits rien qu’en mettant en gros la photo du produit en question au milieu de la page ?
Le contenu, comme pour l’analyse sémantique, nous posera deux problèmes : a-t-on assez de contenu ? Et ce contenu répond-il aux besoins des internautes (autrement dit, est-il bien adapté pour répondre au problème posé par le mot clé que je cible ?)
La taille idéale d’un contenu est sujette à débat. Une chose est sure, plus il y en a, mieux c’est. Du moins, pour le SEO car trop de contenu, c’est mauvais pour l’ergonomie d’un site et donc pour la conversion.
Il faut donc trouver le juste milieu. Ainsi, le minimum syndical tourne autour des 200-250 mots. En dessous de ca, il y a des chances que Google considère votre page comme pauvre, voire pire, spammy.
L’autre règle d’or en ce qui concerne le contenu, c’est que chaque page doit avoir un contenu unique. C’est indispensable puisqu’en théorie deux pages différentes répondent à deux problèmes différents. Si ce n’est pas le cas, votre site n’est peut-être pas le mieux adapté pour aider les internautes et Google ne manquera pas de le remarquer.
Enfin, en ce qui concerne le fait que votre texte corresponde à ce que cherchent les internautes, c’est pareil que pour l’analyse sémantique : vous ne devez pas chercher à vendre votre produit mais plutôt à répondre aux besoins de vos visiteurs.
En gros, ne dites pas que votre super pack SEO est vraiment génial, mais expliquez plutôt en quoi le référencement naturel et la solution que vous apporterez fera gagner en visibilité à vos visiteurs, boostant ainsi leurs ventes.
- L’optimisation on site
Le but de l’optimisation on site, c’est en priorité de faciliter le travail des moteurs de recherche. Autrement dit, on va chercher à dérouler le tapis rouge quand Google nous rendra visite afin qu’il prenne bien le temps de visiter tout le site et surtout, qu’il s’y plaise.
Après, le problème c’est qu’il ne parle que le langage des robots et les robots, ca ne comprend que ce qui est logique : que ce soit au niveau de l’organisation du contenu, ou encore dans la structure du site.
Ici, on s’assurera d’être bien concentré afin d’éviter des petites bourdes parfois lourdes de conséquence, comme par exemple celle-ci mise en avant dernièrement par Sylvain d’Axe-Net.
Par ailleurs, mieux vaut ne pas s’aventurer sur des chemins qu’on ne maitrise pas forcément et se limiter dans un premier temps à faire ce que l’on est sur de pouvoir mettre en place.
La sur-optimisation pourra être mal interprétée et vous apporter son lot d’ennui.
- L’optimisation off site
Quatrième et dernière étape, l’optimisation off site est devenue au fil des années un passage incontournable du SEO.
Et là, beaucoup (tout le monde) s’y sont brulé les doigts.
Le principal ennemi du link building, c’est l’impatience. Manque de bol, on est tous impatient et attendre deux mois avant de mettre en place quelques liens sur des sites à fort PR, même si on c’est que c’est important, relève parfois de la torture.
Il faudra pourtant faire l’effort puisque la régularité est indispensable sans quoi vous risquerez au mieux que certains de ces liens ne vous apportent rien, au pire que ces liens vous pénalisent, du moins temporairement.
Une fois cela bien compris, on regardera combien de liens il est nécessaire d’acquérir pour être meilleur que le voisin et si on est motivé, on se créera un petit planning pour être sur de ne pas confondre les deux mois avec deux semaines.
Tout va bien chez moi, alors regardons chez le voisin
Vous avez fait le tour. Puis vous l’avez refait. Vous n’avez rien trouvé alors vous l’avez encore refait. Mais vous ne trouvez rien et le fait que votre site ne dépasse pas votre concurrent est inexplicable.
Il est alors temps de regarder ce que fait notre(s) concurrent(s) pour être si solidement positionné.
Ici, on répétera tout simplement les étapes du dessus sur le site du concurrent. On cherchera à trouver la petite bête ou le petit plus qui l’aide tant.
Peut-être même qu’il triche. On songera alors à en parler au big boss, ou pas en fonction de ce qu’on pense.
Et si tout est clean sur son site, on regardera en détail d’où viennent ses backlinks. On les étudiera un par un, en y passant les heures qu’il faudra et on adaptera notre stratégie. On contactera éventuellement les sites qui effectuent un lien vers ce concurrent pour en demander gentiment un également.
Mais surtout, on n’oubliera pas que l’évolution d’un site dans les pages de résultats ne se fera pas du jour au lendemain et qu’avant de s’arracher tous les cheveux, il est souvent préférable d’être patient.
Vous aurez alors pleinement le temps de vous intéresser, en attendant, au référencement alternatif ou bien essaierez de faire apparaitre votre site dans Google définition.
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Bonjour,
(dsl pour l’ancre du lien, pas pu résister… :$)
Sympa cet article, merci !
« Il faut bien comprendre une chose : votre site vend des produits, qui répondent à un besoin. Il faut se positionner sur ce besoin, et non sur le produit. » : aie, aie, aie, tout dépend du produit ou du service… Bon, ok, cette phrase sortire de son contexte n’a plus tout à fait le même sens mais attention quand même à ce genre d’information… 😉
Très bon récap.
Par contre, cet article s’adressant à des personnes plutôt débutantes, je pense qu’il est utile de dire que le voisinage de sites douteux sur un serveur est certainement la dernière chose à regarder.
En général, le problème vient de sa poutre, pas de la paille de l’autre, comme tu le dis si bien.
Pour exemple, j’ai eu des sites dont le voisinage était vraiment très hot, voire même warez & Co. Ceci n’a jamais pénalisé les miens.
Heureusement d’ailleurs, sinon, il serait bien trop risqué d’héberger sur un mutualisé.
Sinon, j’ai toujours un peu peur de passer pour un spammeur en collant un de mes liens, mais le petit article suivant résume les étapes durant lesquelles le SEO est important lors de la mise en place d’un site. Il est sans aucun doute moins détaillé que le tien, mais permet d’avoir une visualisation globale assez utile : http://blog.axe-net.fr/etapes-.....rencement/
ps : ton article sur le référencement « alternatif » est aussi plein de bons conseils
liste et constat a avoir à l’esprit pour la création et le développement d’un site web.
En tout cas la réflexion à mener avec un site de vente en ligne et un site plus rédactionnel avec de l’information n’est pas la même.
merci de m’avoir remis en tête les points importants.
Bonjour,
Cet article est extrêmement intéressant, et trés bien rédigé. Votre site que je découvre tombe directement dans mes favoris.
J’adore cette phrase: « votre site vend des produits, qui répondent à un besoin. Il faut se positionner sur ce besoin, et non sur le produit. »
Bravo ! 🙂
De retour suite à « votre site vend des produits, qui répondent à un besoin. Il faut se positionner sur ce besoin, et non sur le produit. »
Et ma vision des choses.
Si on parle de SEO, je pense que c’est aussi sur le produit qu’il faut se positionner. C’est la que seront une grande partie des requêtes. Il serait donc un peu bête de perdre tout ce trafic potentiel.
Par contre, dans la fiche produit, dans son contenu textuel, c’est sur le besoin qu’il faut argumenter. J’irai d’ailleurs plus loin, il faut argumenter en terme d’avantages pour le client (même si les caractéristiques ne doivent pas être totalement oubliées).
Lorsque 10 sites proposent tous le même produit au même prix, c’est souvent cette argumentation qui va faire la différence.
D’ailleurs, elle peut être connexe au produit, elle peut toucher au délai de livraison, à la garantie, etc.
En gros, en SEO, on génère le trafic, ensuite c’est le Mktg qui reprend la main pour transformer le visiteur en client.
Très bon article récapitulant les problèmes qu’un site peut rencontrer en SEO, vérifier si Google ne nous a pas puni est la première des choses à faire.
Avec l’expérience, l’instinct permet de gagner du temps et ou s’orienter.
Penser à toujours contrôler le fichier robot.txt; effectivement à plusieurs reprises nous avons constater que des webmasters mécontents de leurs clients n’avaient pas hésité à empêcher le référencement du site.
Je suis un apprenti référenceur et je dois avouer que cet article est très complet et vraiment instructif.
Je me reconnais beaucoup dans le côté « impatient » lorsque j’attaque le linkbuilding d’un site. Pour contrer ce mauvais réflexe, je ne vois pas d’autre solution qu’un gros travail à effectuer sur moi-même !
Encore merci pour ce délicieux article, je m’en vais de ce pas étudier celui dédié aux techniques de référencement alternatif !
Oh oh oh oh oh! LE Fail de l’année pour Kiwitic! J’avais deja eu le cas pour le site portugais d’une grosse entreprise de system securité… mais la lui il est Juste ENORME! Merci Sylvain!
Sinon c’est effectivemet un bon recap… bien dans l’esprit du site.
Keep up the good work
J’ai trouvé cet article très complet et il m’aide beaucoup.
Merci
Beaucoup de commentaires de qualite, ca fait plaisir!
@Communication web: pas de prob pour l’ancre, J-17 avant KeywordLuv 🙂
Pour rebondir sur le fait de se positionner sur le besoin et non le produit, c’est vrai que j’ai avance ca de maniere peut-etre trop generale.
Dans le fond tu as raison, tout comme Sylvain.
Un site qui vend des aspirateurs ne va pas positionner toutes ses fiches produits sur « Nettoyer sa maison ».
Toutefois, la homepage par exemple pourra viser des termes comme celui la (entre autre) captant ainsi un trafic peut-etre plus qualifie, ou du moins plus large et peut-etre meme moins concurentiel.
@Sylvain: tu as raison de le preciser, le mauvais voisinage qui a mauvaise influence est a priori trop rare pour qu’on s’en preoccupe.
@Jerome: ravi d’avoir gagne un lecteur 😉
@Fabien: tu peux aussi planifier par avance tes actions en les dispersant par exemple sur 2 mois et en programmant des alertes. Ca peut paraitre lourd mais c’est plutot pratique 😉
Guide très utile, par contre je n’ai pas vu mention du duplicate content qui est de plus en souvent un soucis présent chez les sites web qui ne font pas attention et copie colle leur contenu un peu partout sur leur site et sur le web. (Mais bon c’est peut-être seulement mes clients :P)
Merci pour ces précieuses informations. Comme Axenet je pense qu’il faut se positionner et sur le produit et sur son environnement dans la manière du possible.
J’aime bien les articles qui me donnent l’impression d’être un nouveau né…
Ca fait du bien de découvrir pas mal de choses, et de manière structurée.
Merci pour cet article. J’apporte mon humble petite graine : pour l’analyse des backlinks des concurrents, on peut s’aider de market samuraï (http://www.marketsamurai.com/) qui est particulièrement efficace (il y a un free trial)
Merci, je pense que beaucoup de référenceurs travaillent seulement quelques parties des points que tu as évoqués, sauf ceux très expérimentés, et conscients de ce qu’il faut vraiment faire.
IL y a aussi l’expérience qui rentre en compte, l’acquisition de ces connaissances, et leur restitution sur le site.
Doucement, mais surement!
Je félicite tout d’abord l’effort de structuration de l’article. On a là presque une méthodologie complète pour un audit.
Ensuite, je suis plutôt de ton avis sur le fait qu’il faut se positionner sur le besoin et non sur le produit. Voilà ma théorie : si l’internaute connaît déjà la réponse à son besoin pourquoi poserait-il sa question à Google ?! 8D C’est un des points les plus intéressants du référencement selon moi, comprendre ce dont les internautes ont besoin et comment leur apporter les bonnes réponses. C’est souvent l’occasion de remettre en question son offre ou sa façon de la présenter.
Enfin, dernier point que je voulais saluer : ton apologie de la patience et de la régularité pour le linkbuilding.
Bon article. Pour le cas du nom de domaine blacklisté je n’ai jamais eu ce problème, comment ferais-tu pour vérifier s’il a été blacklisté sachant que le site n’est plus en ligne ?
Vraiment très instructif comme article, très bien expliqué en plus, merci bien.
Pour les personnes qui se lance dans le SEO pour la première fois, je pense que les principaux problèmes sont le manque de patience et une gigantesque soumission aux annuaires & co 🙄
Le référencement est une question de logique, trop de soumissions en si peu de temps ce n’est pas bon 8)
Gael
Trop de soumission en peu de temps? Ca veut dire combien ?
J’ai déjà fait 5000/6000BL (yahoo site explorer) sur un domaine neuf le premier mois sans problème, vous savez à partir de quel ordre de grandeur ca coince ?
@Yann : Disons que ça dépend l’ancienneté de ton site, si derrière tu as déjà des gros ou pas…
Et relativise, 5-6K bl yahoo peuvent tout autant dire que 100 domains root donc une bien moindre repercussion.
Pour ma part, je n’est jamais eu ce problème de gros départ, ce qu’il faut comprendre ce n’est pas qu’il ne faut pas mettre 1000-2000 liens le premier mois et rien les mois d’après…
Si vous avez une stratégie qui tien la route avec un gros départ puis une évolution constante, vous n’aurez pas de problème, mais pour le savoir, mieux faut être un poil spécialiste 😉
Pour l’outil Marketsamurai recommendé dans un commentaire plus haut, je l’ai essayé il y a quelques semaines et les résultats semblaient très bons pour les recherches en anglais. Mais en français, beaucoup moins de résultats que l’outil gratuit de google! Alors tant qu’à payer…
(adwords.google.fr/select/KeywordToolExternal)
Super article de qualité, très bien structuré, accessible aux amateurs et agréable pour ceux dont le métier est le référencement comme moi.
@ Poele bois : Je parlais de la recherche des backlinks, pas de la recherche des mots-clés 😉 De mon côté, pour la partie recherche de backlinks je le trouve performant (il s’appuie sur les résultats de yahoo site explorer).
Concernant les mots-clés, en fait market samurai récupère directement les données de keyword external tool pour l’analyse des mots-clés.
Cependant, il ne sort de résultats que lorsque le mot-clé a + de 300 requêtes/mois environ. C’est donc surtout intéressant pour identifier les requêtes ayant un trafic assez important et sur lesquelles on peut se positionner sans trop de difficultés. Ce qui explique que certaines niches ayant peu de trafic ressortent peu de résultats.
Cela implique aussi que market samurai perd de son intéret lorsque l’on se concentre spécifiquement sur la longue traine.
Keyword Eye Visual est super pour le keywording sur toutes les langues
Ca reprend bien les différents éléments qui font un référencement réussi et de qualité.
Une aide précieuse quand on ne sait pas pourquoi son site ne fonctionne pas !!!
On y pense jamais mais savoir qu’un moteur cherche du contenu différent pour chaque page car une page=un besoin je suis impressionné.
Je vais y travailler.
merci pour tous ces conseils
De très bon éléments dans cette liste est il est vrai que souvent lorsqu’on pense être pénalisé on ne sait pas par ou commencer.
Ici, on a un aperçu pour savoir dans quelle direction regarder !
Encore merci pour ces conseils utiles 🙂
Bonjour,
Bonne annnnéeeee !
Premier post de cette nouvelle année 2011 ^^
Merci pour cet article très intéressant, je continue le surf sur votre site, et j’espère pouvoir sortir mon site (<4 mois) hors de mes concurrents 🙂
Bonjour,
merci pour ce post ! J’ajouterai également qu’il existe certains outils SEO pour vérifier automatiquement les problèmes SEO comme par exemple woorank.com avec un indice sur 100. je trouve ça très pratique d’identifier les erreurs SEO en cliquant que sur quelques boutons.